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Un texte : écrit le 25 septembre 2012 et publié seulement maintenant.
Parce-que nos mains, l'une à l'autre accrochées,
Construisaient l'avenir.
Parce-que ses yeux verts, dans le noir des miens,
Se parlaient de demain.
Puisqu'à nos vies, il ne manquait plus rien,
Puisqu'à nos vies, il ne manquait plus rien,
Qu'un petit être frêle à tenir dans nos bras.
Puisque déjà ton coeur, bat quelque part, là.
Nous t'attendons, patients, et nous t'aimons déjà.
Puisque déjà ton coeur, bat quelque part, là.
Nous t'attendons, patients, et nous t'aimons déjà.
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