Les joues rosies par le froid.
L'inspiration ce soir ne vient pas.
Les muses hibernent,
L'inspiration ce soir ne vient pas.
Les muses hibernent,
Qui venaient à mon oreille,
Souffler les airs des poèmes,
Et les requiems de mon effroi.
Et je n'ai rien à me mettre sous la plume.
Aucun des mots qui de coutume,
Aucun des mots qui de coutume,
Viennent s'asseoir sur mes genoux,
Que je les mette bout à bout.
Et je n'ai rien à me mettre sous la plume.
Qu'une page blanche sans lune,
Qu'une page blanche sans lune,
Qui dort dans la nuit bien trop froide,
De mon inspiration malade.
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